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Photographie et désir d'écrire
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Au delà des apparences
Auteur :
J-P Smagghe – Menez
Faisait-il partie d’une
secte maudite lui et la victime ?…
Jean-Pierre Smagghe - Menez est un auteur, surprenant, bouleversant,
toujours intelligent. Frissons garantis. »
Copyright © 2007 SimpleEdition
Nombre de pages en version AcrobatReader : 206
Prix : 6 euros
Auteur :
J-P Smagghe – Menez
Aux
éditions ACF - 2003
Quel est le pouvoir terrible de ces statuettes en
formes d’anges venues d’un autre temps ? Est-ce que toutes les démarches de ces
scientifiques ont pour seul but la recherche du voyage dans le temps ? Quelle
est cette ombre noire sans visage qui suit notre héroïne ?.
Nombre de pages en version AcrobatReader : 72
Prix : 2,90 euros
Prologue
Effrayés, les étourneaux prennent leur envol comme une nuée
de flèches cendrées sous le regard amusé de Laura et les cris de joie de
l'enfant.
Le printemps touche à sa fin et toutes les écoles de
l'agglomération Lilloise semblent s'être données rendez-vous pour un immense
pique-nique dans les jardins de la Citadelle. A l'entrée du parc, le petit
train jaune et rouge, conduit par un ours brun, attend
les voyageurs en culottes courtes dans le hall de gare.
Partout on entend des cris d'enfants. Aux pieds des girafes
de bois sur lesquelles de petits diables sont grimpés, une maîtresse d'école
bat le rappel sans parvenir à se faire entendre.
Rassembler la marmaille qui courre en tous sens et les
compter afin de n'oublier personne n'est pas une mince affaire mais finalement,
la maîtresse y parvint sans trop de difficultés.
Au même instant, un petit groupe composé d'une vingtaine de
gamins de quatre ou cinq ans, marchant deux par deux les uns derrières les
autres, se dirige vers le zoo se trouvant à l'intérieur du parc.
Bien que l'été soit tout proche, il fait un peu frais ce
jour-là, c'est peut-être pourquoi personne n'est installé à la terrasse du
snack-bar. Personne, à l'exception d'un homme. Il était arrivé il y a une heure
environ.
L'inconnu, assis à une table semblable au salon de jardin
qu'on trouve dans les hypermarchés à l'approche de la belle saison, noircit les
pages blanches d'un grand cahier. Autour de lui, sur le sol de terre battue,
trois moineaux sautillent cherchant sans doute quelque nourriture tombée par
mégarde des cornets de frites des promeneurs.
A distance, derrière son comptoir, Laura l'observe. Qui
est-il, et que peut-il bien écrire ? s'interroge la
jeune femme. Quand Laura se tourne à nouveau vers lui, elle le voit sourire
mais elle n'en comprend pas la raison. Elle, qui tous les jours depuis des
semaines est occupée à servir aux badauds, sandwichs, frites et boissons
fraîches, ne perçoit plus l'étrange spectacle de la vie.
Voir, demande de l'attention, surtout quand les lieux où
nous nous trouvons nous sont familiers.
En l'espace de quelques minutes, Addwin,
assis devant les pages qu'il vient d'écrire, a vu passer devant lui, sur le
chemin de graviers rouges, deux jeunes amoureux se tenant par la taille, une
femme poussant un landau dans lequel un enfant dormait et un couple de
vieillards marchant main dans la main. En un instant, le cycle de la vie des
hommes s'est déroulé devant ses yeux, comment ne pas en être amusé.
Pourtant, en cet après-midi du mois de juin, Addwin n'a pas le cœur à rire. A l'ombre des grands
marronniers dont les larges feuilles s'écartent comme les doigts d'un géant, Addwin se souvient…
… A quelques mètres de là, Amandine remarque alors un homme assis à la terrasse d'un café. Un frisson lui parcoure l'échine. L'inconnu tourne la tête vers elle et la regarde fixement. Puis, lentement il détourne les yeux. Amandine continue son chemin, elle se sent mal. C'est étrange Un peu plus loin sur le trottoir, elle se retourne vers l'inconnu afin de voir ce qu'il fait à présent. Elle est surprise de voir qu'il s'est levé. Il a traversé la rue et marche à quelques mètres derrière elle. Sans qu'elle sache vraiment, pourquoi sa respiration s'accélère. Est-ce cet inconnu qui la met dans cet état ?
… L'ouvrage avait pour thème la mémoire cellulaire. Il s'agissait du chapitre s'intitulant "La chimie du corps". Amandine se mordilla légèrement les lèvres, se demandant s'il était possible que les cellules de notre corps puissent conserver la mémoire d'événements passés. Si oui, que pouvait bien devenir cette mémoire après la mort. Était-il possible qu'elle émigre dans un nouveau corps par on ne sait quel processus, un peu comme la rencontre du spermatozoïde et de l'ovule, pensa-t-elle. Elle eut conscience que son explication fleurerait avec la simplicité mais, si c'était vrai se dit-elle encore, on pourrait se réincarner et vivre d'autres vies, ce serait fantastique. Peut-être même pourrait-on retrouver quelqu'un qu'on a aimé dans une autre vie. Comme la plupart de ses contemporains, Amandine avait peur de mourir. Parfois, lorsqu'elle y pensait, elle se disait que c'était injuste, que dieu nous avait joué un bien vilain tour. Nous naissons, nous aimons et nous avons à peine le temps de découvrir le monde, de profiter de la vie qu'il faut déjà disparaître. C'était vraiment trop injuste.
… Amandine marchait maintenant sur les pavés d'une immense place envahie par des nappes de brouillard, entièrement nue, immobile parmi des bâtiments en ruines dont les pierres luisaient sous les reflets de la pleine lune. Autour d'elle, les maisons n'avaient plus de toit, ne restait que la pierre qui semblait transpirer sous l'effet de la brume. Les bras croisés sur sa poitrine, elle fit quelques pas en direction d'une grande bâtisse à l'autre bout de la place. Le sol était si froid qu'elle ressentit jusqu'à la pointe de ses seins cette vague glacée qui sourdait du sol. Elle parcourut une centaine de mètres avant de se retrouver devant les marches d'une cathédrale complètement délabrée. L'un des battants de la grand-porte était resté entrouvert. Amandine releva la tête, son regard se posa sur le fronton de l'édifice. Les vitraux avait totalement disparu. Tout semblait mort dans cette ancienne ville.
Et le projet un jour de vivre de sa
passion.
Dans son roman noir, il est question de vengeance
de manipulations, de voyages et de réincarnation. «Mais ce n’est pas un roman
pour les initiés " se défend l’auteur. A travers ce deuxième roman,
l'auteur nous plonge dans l'univers des mythes engloutis. Le scénario est ténu,
le style épuré, l'intrigue Sans manichéisme, les portraits particulièrement soignés.
Au fil des pages, les lecteurs se prendront au jeu de l'aventure. De la
Bretagne au cercle arctique, en passant par le Canada, le. dépaysement
est garanti.
Edition Nationale juin 2003 – par Bernard KRIEGER
Pas facile de se
faire éditer lorsqu’on est un inconnu. Et pourtant Jean-Pierre Smagghe, 36 ans, aspire à mener une vie d’écrivain.
« Afin », explique-t-il avec conviction, « de partager un
plaisir, dialoguer, créer un lien entre moi et les autres… ». Il ne cache
pas non plus que c’est l’écriture et l’insistance de
proches le poussant dans cette direction qui lui ont permis de sortir d’une
passe très difficile. En l’écoutant on devine très vite chez lui un jeune homme
tourmenté, s’interrogeant sans cesse sur tout, sachant marquer de longues
pauses silencieuses pour exprimer ce qu’il veut dire. « L’écriture, je
n’en fais pas pour autant une thérapie. Simplement un idéal de vie »
confie-t-il.
Ecrire, c’est
bien. Etre lu c’est mieux. Il y a un an, Jean-Pierre Smagghe
avait tenté de diffuser un premier livre « L’enfant que la mort
aimait », en tentant la formule à comptes d’auteur, une expérience pleine
de pièges qu’il ne conseille pas.
Dans ce roman,
il avait mis beaucoup de lui-même faisant accomplir à son héros l’étrange
voyage entre le réel et un autre monde. En y mêlant, dans un style simple et
descriptif, stimulant l’imagination du lecteur façon polar, passion amoureuse,
aventure, château en ruines, cité souterraine, mystère, énigme. Un an plus
tard, il auto édite un deuxième roman : « Et tu connaîtras enfin la
vérité ». « Je pends un risque financier », confie-t-il.
« Mais c’est le seul moyen rapide de parvenir à mes fins, c’est à dire de
toucher le public. Et puis tout faire soi-même, de A jusqu’à Z ou presque,
c’est une expérience vraiment très enrichissante… »
C’est avec le soutien de sa compagne Anne-Catherine et de quelques personnes choisies, qu’il a entamé cette deuxième aventure littéraire. « Le fond et la forme ont été longuement débattu », confie-t-il.
Le résultat est
assez étonnant. Et même prometteur pour un jeune auteur qui aborde des sujets
passionnants mais complexes. Il y mêle la ville de Lille, qu’il connaît bien,
une intrigue amoureuse, une enquête policière, dans une histoire qui s’accélère
soudain vers d’autres lieux, lointains et mystérieux, découverts par des
archéologues, traduisant l’attirance de ce jeune auteur pour les phénomènes
étranges, les énigmes historiques ou scientifiques, les mythes, les mystères
entourant l’histoire celtique et médiévale, les secrets de l’esprit humain et
de la destinée, l’importance de l’intuition..
Dans ce livre la
fiction traduit l’envie de percer les secrets de ce qui anime les êtres en
profondeur… « J’ai toujours été rebelle à l’autorité, aux règles,
d’où qu’elles viennent, et je n’accepte rien, sans avoir eu d’explications, de
justifications. J’ai soif de comprendre, de donner du sens. J’ai parfois une
fâcheuse tendance à pousser les gens dans leurs retranchements, à tout
décortiquer. L’écriture c’est ma voie, ma façon d’explorer. » Un troisième
livre est d’ailleurs déjà en chantier.
B. KRIEGER
retour
à « la Photographie, moteur de son désir d’écrire »
à tous les libraires qui nous ont accordé leur
confiance,
à tous ceux qui ont pris le risque de soutenir un
auteur auto-édité,
aux journalistes qui ont pris le temps d’écrire un
article, voire de lire le roman,
Merci à Pascale THOMAS pour « la FNAC » de
Lille, www.fnac.fr
aux librairies: «Majuscule» à Armentières, « Privat-Brunet» à Douai, www.privat.fr,
« L'Arbre à Lettres» et « Tirloy»
à Lille www.tirloy.fr.st,
Merci aux responsables des espaces culturels Leclerc
de Pau, Mont de Marsan, Ste Eulalie, www.e-leclerc.com
aux librairies: d'Oloron Ste Marie, Salies de Béarn, et
à la librairie « Tonnet » de Pau,
ainsi qu’à l’épicerie de Bellocq.
Martine TRITAN du « courrier seniors »
Nordnet « Fil à la page »
Antoine FILIPPI
Auteur :
J-P Smagghe – Menez
Format : 14X22 cm
ISBN: 2-748-32493-8
C’est à dire que l’auteur a
participé aux frais d’impression.
Le parcours de Jean-Pierre Smagghe
a été souvent cahoteux, jalonné de rebellions, de remises en question... Ce Wasquehalien de 35 ans estime avoir trouvé sa voie dans
l'écriture. Il y cherche l'expression d'un idéal de vie.
Son premier ouvrage « l'Enfant que la mort aimait» est
paru le mois dernier chez « Publibook". A
la fois en livre et sur Internet. Le personnage principal s'appelle Pierre. Il
est écrivain et porte le deuil récent de sa compagne. « Il est
ordinaire, ni beau, ni célèbre. », précise -t-il.
Pierre va vivre un étrange voyage, entre le réel et un autre
monde. Un voyage qui l’amènera à enquêter sur la mort d'une femme. Ce premier
roman, mêle passion amoureuse, aventure, château en ruine, cité souterraine, mystère, énigme…Dès les premières pages, on
découvre un style simple, descriptif, appliqué, qui sollicite l’imagination du
lecteur. L’auteur n’a, il est vrai, qu’un but : qu’on lui emboîte le pas.
Jean-Pierre Smagghe ne cache pas
son attirance pour l’histoire (en particulier l’époque médiévale), les
phénomènes étranges, les interrogations à la fois philosophiques et
scientifiques sur le temps la vérité, la religion. Il affectionne aussi la
littérature celtique ou la psychanalyse…
Ce roman d’aventure, il confie l’avoir écrit, de façon
étalée. En un an et demi. Il reconnaît que la recherche du style juste, de la
bonne mise en mots, lui ont donné du fil à retordre.
Pourquoi
écrire, « J’y cherche une reconnaissance sociale. Pas une thérapie . Je veux écrire pour être lu, pour entamer le
dialogue. C’est une invitation à découvrir l’autre…J’entends aussi exprimer mon
idéal de vie, ma passion pour l’observation. »
Jean-Pierre Smagghe aime bien
parler et n’hésite pas à se reprendre pour trouver les bons mots. On le sent
tourmenté, en recherche même s’il estime avoir aujourd’hui trouvé sa voie.
Quand il se raconte, il évoque un parcours cahoteux, un affect malmené et
instable, des deuils. S’il s’habille de noir de la tête au pied, ce n’est
pas par coquetterie. « J’ai pris cette l’habitude après la mort de mon
grand-père... »
Quand on lui demande à quoi il se destinait lorsqu’il était
enfant, il répond simplement comme une évidence : « Je ne me
destinais à rien ». Il avoue qu’il a toujours été rebelle à
l’autorité, aux règles, d’où qu’elles viennent. « Je n’accepte rien sans
justification, sans explication. J’ai toujours besoin de comprendre, de donner
du sens . Ca me joue souvent de sales tours car
sans m’en rendre compte, je pousse les autres dans leurs retranchements, je les
piège dans leurs contradictions.. ».
Son premier contact avec l’écrit a été « privé »,
personnel : poèmes, courriers, une expression de ses dégoûts, rejets,
peurs infantiles, recherches de la vérité…Son parcours scolaire, marqué par de
nombreuses absences s’en est ressenti. ». J’étais un élève moyen,
indiscipliné, distrait… ».A vrai dire. C’est, plus tard, dans les petits
boulots et à l’Université, via l’éducation permanente qu’il a trouvé du sens à l’étude, au travail. C’est là qu’il a
cherché ce dont il avait besoin. Beau rattrapage : il a décroché un D.U.T.
carrières sociales en 1998 ainsi qu’un Diplôme d’Etat aux Fonctions d’Animation
et prépare en ce moment une Licence en sciences de l’éducation.
« J’ai toujours aimé écrire » avoue d’emblée
Jean-Pierre Smagghe. Le visage de ce Wasquehalien entreprenant qui nous arrive premier roman
sous le bras, ne nous est pas étranger pour l’avoir côtoyé il y a quelques
années appareil photo en bandoulière sur les manifestations du secteur.
Correspondant
de presse, animateur socioculturel aujourd’hui romancier, es trois fonctions
très contrastées collent bien à la personnalité de notre auteur qui ne cache
pas les différentes facettes d’un caractère curieux des autres, féru
d’ésotérisme et de psychologie, d’histoire, en perpétuelle recherche sur lui
même, le sens de la vie, notre place dans l’univers. Un caractère forgé au
contact du terrain.
Electron libre, Jean-Pierre Smagghe
reconnaît avoir trouvé aujourd’hui son équilibre personnel et préfère canaliser
sa belle énergie à écrire. Le plaisir de photographier l’ a
quitté, il correspondait selon lui à un époque révolue, celle où il ne se
servait de son objectif pour « rentrer en contact avec l’autre,
communiquer, peut-être vampiriser l’autre. Aujourd’hui, j’ai envie de
construire des images avec des mots, j’ai envie d’entrer dans l’imaginaire du
lecteur et permettre qu’il y ajoute ses couleurs. J’ai aussi envie de dire que
j’existe, de laisser une trace dans le temps. »
Aussi dans son roman »aux multiples rebondissements
mêlant habilement les ressorts du récit à suspense à la passion
amoureuse » a t-il inconsciemment distillé, quelques belles images, nous
emmenant « dans les abysses de la conscience pour une étrange exploration
de l’humanité. »
« Romantique de nature », Jean-Pierre Smagghe souhaite susciter l’émotion du lecteur en lui
offrant une histoire aventureuse avec des sentiments, une ambiance pimentée de
suspense, un juste dosage entre rêve et réalité.
La sortie de son premier ouvrage « L’enfant que la
mort aimait » correspond bien au style, puisqu’elle a été d’abord virtuelle
avant d’être réelle. Publié aux Editions Publibook à
Paris en mai 2002, l’ouvrage a la double particularité originale d’être en
partie présente sur le Net depuis quinze jours sur le site Publibook.com et
d’être imprimé à la commande. Un roman sur le Net, communication moderne qui
permet de se faire connaître plus vite d’un large public et qui correspond bien
finalement à cet auteur intéressé par le passé mais aussi aimanté par l’avenir,
au point d’imaginer déjà d’autres romans, une suite à sa belle aventure
littéraire.
aux Editions DELMA
(début 2008)
(Thriller fantastique)
Jean - Pierre SMAGGHE - MENEZ
En Bretagne, des jeunes femmes
sont sauvagement assassinées depuis le début de l’été. Le commissaire
de la brigade criminelle de Rennes, Al Leguennec, met
ses meilleurs hommes sur l’affaire. Ils seront bientôt rejoints par
Maria Loreena, de la police de Rouen.
Entre temps, Rachel, journaliste pour un magazine féminin, apprend que sa mère
lui a menti. Elle se met alors en quête de ses origines et découvre qui était
son père. Il a disparu peu après la naissance de Rachel dans des conditions
étranges.
Le lieutenant Pauverty, chargé de coordonner l’enquête,
se pose lui aussi des questions concernant le passé de la jeune femme.
Les meurtres commis en Ille-et-Vilaine, la vie apparemment sans histoire de
Rachel, les recherches d’un anthropologue sur la mystérieuse
Lilith...
Tout cela prend sens dans :
“Le sang qui coule dans tes veines”
La photographie se révélera pour lui, un moyen d'exprimer sa
vision du monde. Il travaille alors sur un projet d'exposition. Mais très vite,
il se met à écrire, son projet évolue et il se lance dans l'écriture d'un
essai. Bien que celui-ci restât dans sa bibliothèque, cela lui donne envie
d'écrire.
Entre temps, il reprend des études et passe un concours d'entrée
universitaire, après une « remise à niveaux » qui durera quatre
ans.
Il obtient un D.U.T. (diplôme universitaire de technologie)
carrières sociales en 1998, un D.E.F.A. (diplôme d'état aux fonctions d'animation)
l'année suivante et termine par une licence en Sciences de l’Education.
C'est un bouleversement dans sa vie qui le conduit à écrire son
premier roman, en septembre 2000. Il l'appellera : l'enfant que la mort aimait.
Dernières modifications le : 26/09/2007