Au delà des apparences

Thriller fantastique

Paru aux éditions :

www.simpleedition.com

En septembre 2007

Le fruit de la vengeance

 Paru aux éditions :

www.simpleedition.com

En septembre 2007

Le fruit de la vengeance lors de sa première parution aux éditions ACF

est paru sous le titre : Et tu connaîtras enfin la vérité

© photo : Jean-Pierre SMAGGHE - MENEZ

Photographie et désir d'écrire

l'enfant que la mort aimait

un roman qui pose la question des origines

le sang qui coule dans tes veines

Thriller - à paraître aux éditions DELMA - début 2008

 

Au delà des apparences

Auteur : J-P Smagghe – Menez

Résumé :

Notre héros, Émile Tiembpont est bouquiniste à Lille, dans le nord de la France. Il vit une existence paisible entouré de ses livres après avoir perdu, en partie, la mémoire, suite à un accident de moto.

Sa surprise est totale lorsqu’on lui apprend qu’un de ses clients de la veille a été retrouvé mort, broyé par une force inconnue dans son appartement. Cela a t’il un lien avec le livre qu’il lui a vendu hier, le fameux Nécronomicon au texte sulfureux ? C’est apparemment ce que pense la police.

Faisait-il partie d’une secte maudite lui et la victime ?…

Pourquoi le regarde t’on à travers sa vitrine comme s’il était une bête curieuse ?… Est-il encore sous hypnose chez son psychiatre qui l’aide à recoller les morceaux épars de son passé ?..

« Un ebook débordant d’action et de retournements de situation, impossible à quitter avant la dernière phrase, et là, quelle surprise !

Jean-Pierre Smagghe - Menez est un auteur, surprenant, bouleversant, toujours intelligent. Frissons garantis. »

Copyright © 2007 SimpleEdition

www.simpleedition.com

Informations sur ce ebook :

Nombre de pages en version AcrobatReader : 206

Prix : 6 euros

Le fruit de la vengeance

Auteur : J-P Smagghe – Menez

Première parution sous le titre

Et tu connaîtras enfin la vérité

Aux éditions ACF - 2003

Un roman à l’atmosphère Fantastique

Résumé :

Amandine est une jeune femme simple, bonne secrétaire le jour et bonne épouse le soir, rien ne la destine à l’aventure et pourtant. Le jour où elle décide de suivre ses ‘amis’ anthropologues par défi, sa vie basculera dans l’horreur.

Quel est le pouvoir terrible de ces statuettes en formes d’anges venues d’un autre temps ? Est-ce que toutes les démarches de ces scientifiques ont pour seul but la recherche du voyage dans le temps ? Quelle est cette ombre noire sans visage qui suit notre héroïne ?.

« Jean-Pierre Smagghe-Menez nous surprend encore une fois dans un suspense à couper le souffle. Et qui fait nous demander :  Est-ce que le 35 rue Sainte-Catherine est un endroit maudit.. . Comme dans tous les grands romans qui nous tiennent jusqu’à la dernière ligne, on a envie d’y aller enquêter soi-même. »

Copyright © 2007 SimpleEdition

www.simpleedition.com

Informations sur ce ebook :

Nombre de pages en version AcrobatReader : 72

Prix : 2,90 euros

 

Quelques extraits …

                              

                                Prologue

Sur les pelouses de la Citadelle de Lille, non loin du snack-bar où travaille Laura, une dizaine de merles gris picorent les restes d'un déjeuner. Soudain, une petite fille se détache du groupe d'enfants avec lequel elle jouait, il y a un instant encore et se met à courir en direction des volatiles.

Effrayés, les étourneaux prennent leur envol comme une nuée de flèches cendrées sous le regard amusé de Laura et les cris de joie de l'enfant.

Le printemps touche à sa fin et toutes les écoles de l'agglomération Lilloise semblent s'être données rendez-vous pour un immense pique-nique dans les jardins de la Citadelle. A l'entrée du parc, le petit train jaune et rouge, conduit par un ours brun, attend les voyageurs en culottes courtes dans le hall de gare.

Partout on entend des cris d'enfants. Aux pieds des girafes de bois sur lesquelles de petits diables sont grimpés, une maîtresse d'école bat le rappel sans parvenir à se faire entendre.

Rassembler la marmaille qui courre en tous sens et les compter afin de n'oublier personne n'est pas une mince affaire mais finalement, la maîtresse y parvint sans trop de difficultés.

Au même instant, un petit groupe composé d'une vingtaine de gamins de quatre ou cinq ans, marchant deux par deux les uns derrières les autres, se dirige vers le zoo se trouvant à l'intérieur du parc.

Bien que l'été soit tout proche, il fait un peu frais ce jour-là, c'est peut-être pourquoi personne n'est installé à la terrasse du snack-bar. Personne, à l'exception d'un homme. Il était arrivé il y a une heure environ.

L'inconnu, assis à une table semblable au salon de jardin qu'on trouve dans les hypermarchés à l'approche de la belle saison, noircit les pages blanches d'un grand cahier. Autour de lui, sur le sol de terre battue, trois moineaux sautillent cherchant sans doute quelque nourriture tombée par mégarde des cornets de frites des promeneurs.

A distance, derrière son comptoir, Laura l'observe. Qui est-il, et que peut-il bien écrire ? s'interroge la jeune femme. Quand Laura se tourne à nouveau vers lui, elle le voit sourire mais elle n'en comprend pas la raison. Elle, qui tous les jours depuis des semaines est occupée à servir aux badauds, sandwichs, frites et boissons fraîches, ne perçoit plus l'étrange spectacle de la vie.

Voir, demande de l'attention, surtout quand les lieux où nous nous trouvons nous sont familiers.

En l'espace de quelques minutes, Addwin, assis devant les pages qu'il vient d'écrire, a vu passer devant lui, sur le chemin de graviers rouges, deux jeunes amoureux se tenant par la taille, une femme poussant un landau dans lequel un enfant dormait et un couple de vieillards marchant main dans la main. En un instant, le cycle de la vie des hommes s'est déroulé devant ses yeux, comment ne pas en être amusé.

Pourtant, en cet après-midi du mois de juin, Addwin n'a pas le cœur à rire. A l'ombre des grands marronniers dont les larges feuilles s'écartent comme les doigts d'un géant, Addwin se souvient…

Autres extraits…

A quelques mètres de là, Amandine remarque alors un homme assis à la terrasse d'un café. Un frisson lui parcoure l'échine. L'inconnu tourne la tête vers elle et la regarde fixement. Puis, lentement il détourne les yeux. Amandine continue son chemin, elle se sent mal. C'est étrange Un peu plus loin sur le trottoir, elle se retourne vers l'inconnu afin de voir ce qu'il fait à présent. Elle est surprise de voir qu'il s'est levé. Il a traversé la rue et marche à quelques mètres derrière elle. Sans qu'elle sache vraiment, pourquoi sa respiration s'accélère. Est-ce cet inconnu qui la met dans cet état ?

L'ouvrage avait pour thème la mémoire cellulaire. Il s'agissait du chapitre s'intitulant "La chimie du corps". Amandine se mordilla légèrement les lèvres, se demandant s'il était possible que les cellules de notre corps puissent conserver la mémoire d'événements passés. Si oui, que pouvait bien devenir cette mémoire après la mort. Était-il possible qu'elle émigre dans un nouveau corps par on ne sait quel processus, un peu comme la rencontre du spermatozoïde et de l'ovule, pensa-t-elle. Elle eut conscience que son explication fleurerait avec la simplicité mais, si c'était vrai se dit-elle encore, on pourrait se réincarner et vivre d'autres vies, ce serait fantastique. Peut-être même pourrait-on retrouver quelqu'un qu'on a aimé dans une autre vie. Comme la plupart de ses contemporains, Amandine avait peur de mourir. Parfois, lorsqu'elle y pensait, elle se disait que c'était injuste, que dieu nous avait joué un bien vilain tour. Nous naissons, nous aimons et nous avons à peine le temps de découvrir le monde, de profiter de la vie qu'il faut déjà disparaître. C'était vraiment trop injuste.

Amandine marchait maintenant sur les pavés d'une immense place envahie par des nappes de brouillard, entièrement nue, immobile parmi des bâtiments en ruines dont les pierres luisaient sous les reflets de la pleine lune. Autour d'elle, les maisons n'avaient plus de toit, ne restait que la pierre qui semblait transpirer sous l'effet de la brume. Les bras croisés sur sa poitrine, elle fit quelques pas en direction d'une grande bâtisse à l'autre bout de la place. Le sol était si froid qu'elle ressentit jusqu'à la pointe de ses seins cette vague glacée qui sourdait du sol. Elle parcourut une centaine de mètres avant de se retrouver devant les marches d'une cathédrale complètement délabrée. L'un des battants de la grand-porte était resté entrouvert. Amandine releva la tête, son regard se posa sur le fronton de l'édifice. Les vitraux avait totalement disparu. Tout semblait mort dans cette ancienne ville.


Articles de presse :

l'Observateur du Douaisis

« Au fil des pages » le jeudi 19 juin 2003 - par M. SCHOEN

 " Et si toute notre vie n’était que l’expiation des actes que nous avons commis il y a... très longtemps? " Ainsi, Jean-­Pierre Smagghe résume l'intrigue de son nouveau roman d'aventure. Avec son héroïne Amandine, l'auteur lillois s'est lancé, lui aussi dans une sacrée aventure: celle de l'auto édition.

Et le pro­jet un jour de vivre de sa passion.

Dans son roman noir, il est question de vengeance de manipulations, de voya­ges et de réincarnation. «Mais ce n’est pas un roman pour les initiés " se défend l’auteur. A travers ce deuxième roman, l'auteur nous plonge dans l'univers des mythes engloutis. Le scénario est ténu, le style épuré, l'intrigue Sans manichéisme, les portraits particulièrement soi­gnés. Au fil des pages, les lecteurs se prendront au jeu de l'aventure. De la Bretagne au cercle arctique, en passant par le Canada, le. dépaysement est garanti.

Paru dans Nord Eclair

Edition Nationale  juin 2003 – par Bernard KRIEGER

Le deuxième roman d’un jeune auteur

Pas facile de se faire éditer

Pas facile de se faire éditer lorsqu’on est un inconnu. Et pourtant Jean-Pierre Smagghe, 36 ans, aspire à mener une vie d’écrivain. « Afin », explique-t-il avec conviction, « de partager un plaisir, dialoguer, créer un lien entre moi et les autres… ». Il ne cache pas non plus que c’est l’écriture et l’insistance de proches le poussant dans cette direction qui lui ont permis de sortir d’une passe très difficile. En l’écoutant on devine très vite chez lui un jeune homme tourmenté, s’interrogeant sans cesse sur tout, sachant marquer de longues pauses silencieuses pour exprimer ce qu’il veut dire. « L’écriture, je n’en fais pas pour autant une thérapie. Simplement un idéal de vie » confie-t-il.

Ecrire, c’est bien. Etre lu c’est mieux. Il y a un an, Jean-Pierre Smagghe avait tenté de diffuser un premier livre « L’enfant que la mort aimait », en tentant la formule à comptes d’auteur, une expérience pleine de pièges qu’il ne conseille pas.

Dans ce roman, il avait mis beaucoup de lui-même faisant accomplir à son héros l’étrange voyage entre le réel et un autre monde. En y mêlant, dans un style simple et descriptif, stimulant l’imagination du lecteur façon polar, passion amoureuse, aventure, château en ruines, cité souterraine, mystère, énigme. Un an plus tard, il auto édite un deuxième roman : « Et tu connaîtras enfin la vérité ». « Je pends un risque financier », confie-t-il. « Mais c’est le seul moyen rapide de parvenir à mes fins, c’est à dire de toucher le public. Et puis tout faire soi-même, de A jusqu’à Z ou presque, c’est une expérience vraiment très enrichissante… »

C’est avec le soutien de sa compagne Anne-Catherine et de quelques personnes choisies, qu’il a entamé cette deuxième aventure littéraire. « Le fond et la forme ont été longuement débattu », confie-t-il.

Lille comme lieu de départ

Le résultat est assez étonnant. Et même prometteur pour un jeune auteur qui aborde des sujets passionnants mais complexes. Il y mêle la ville de Lille, qu’il connaît bien, une intrigue amoureuse, une enquête policière, dans une histoire qui s’accélère soudain vers d’autres lieux, lointains et mystérieux, découverts par des archéologues, traduisant l’attirance de ce jeune auteur pour les phénomènes étranges, les énigmes historiques ou scientifiques, les mythes, les mystères entourant l’histoire celtique et médiévale, les secrets de l’esprit humain et de la destinée, l’importance de l’intuition..

Dans ce livre la fiction traduit l’envie de percer les secrets de ce qui anime les êtres en profondeur…  « J’ai toujours été rebelle à l’autorité, aux règles, d’où qu’elles viennent, et je n’accepte rien, sans avoir eu d’explications, de justifications. J’ai soif de comprendre, de donner du sens. J’ai parfois une fâcheuse tendance à pousser les gens dans leurs retranchements, à tout décortiquer. L’écriture c’est ma voie, ma façon d’explorer. » Un troisième livre est d’ailleurs déjà en chantier.

B. KRIEGER

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Et tu connaîtras enfin la vérité : Merci, Merci…

à tous les libraires qui nous ont accordé leur confiance,

à tous ceux qui ont pris le risque de soutenir un auteur auto-édité,

aux journalistes qui ont pris le temps d’écrire un article, voire de lire le roman,

Dans le Nord de la France :

Merci à Pascale THOMAS pour « la FNAC » de Lille, www.fnac.fr

aux librairies: «Majuscule» à Armentières, « Privat-Brunet» à Douai, www.privat.fr,

« L'Arbre à Lettres» et « Tirloy» à Lille www.tirloy.fr.st,

Dans le Sud-Ouest de la France :

Merci aux responsables des espaces culturels Leclerc de Pau, Mont de Marsan, Ste Eulalie, www.e-leclerc.com

aux librairies: d'Oloron Ste Marie, Salies de Béarn, et à la librairie « Tonnet » de Pau,

ainsi qu’à l’épicerie de Bellocq.

Merci à ceux qui ont diffuser la présentation du roman :

Martine TRITAN du « courrier seniors »

Nordnet «  Fil à la page »

Merci à celui qui a diffusé le roman dans son entourage :

Antoine FILIPPI

Autres Romans

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L'ENFANT QUE LA MORT AIMAIT

Auteur : J-P Smagghe – Menez

 Premier roman - publié à comptes d’auteur en juin 2002

« ce roman aux multiples rebondissements mêle habilement les ressorts du récit à suspense à la passion amoureuse. Au-delà, l’auteur nous emmène dans les abysses de la conscience pour une étrange exploration de l’humanité… »
 
Avis de l’éditeur Publibook

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Informations Complémentaires

297 pages 

Format : 14X22 cm

ISBN: 2-748-32493-8

L’enfant que la mort aimait a été publié en juin 2002, à comptes d’auteur.

C’est à dire que l’auteur a participé aux frais d’impression.

Ce roman n’est plus disponible.

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Articles de presse

au sujet de « L’enfant que la mort aimait »

Paru dans Nord Eclair en juin 2002

« Il écrit pour… être lu » - par Bernard KRIEGER

Le parcours de Jean-Pierre Smagghe a été sou­vent cahoteux, jalonné de rebellions, de remises en question... Ce Wasquehalien de 35 ans estime avoir trouvé sa voie dans l'écriture. Il y cher­che l'expression d'un idéal de vie.

Son premier ouvrage « l'Enfant que la mort aimait» est paru le mois dernier chez « Publi­book". A la fois en livre et sur Internet. Le personnage principal s'appelle Pierre. Il est écrivain et porte le deuil  récent de sa compagne. « Il est ordinaire, ni beau, ni célèbre. », précis­e -t-il. ­

Pierre va vivre un étrange voyage, entre le réel et un autre monde. Un voyage qui l’amènera à enquêter sur la mort d'une femme. Ce premier roman, mêle passion amoureuse, aventure, château en ruine, cité souterraine, mystère, énigme…Dès les premières pages, on découvre un style simple, descriptif, appliqué, qui sollicite l’imagination du lecteur. L’auteur n’a, il est vrai, qu’un but : qu’on lui emboîte le pas.

Centres d’intérêts multiples

Jean-Pierre Smagghe ne cache pas son attirance pour l’histoire (en particulier l’époque médiévale), les phénomènes étranges, les interrogations à la fois philosophiques et scientifiques sur le temps la vérité, la religion. Il affectionne aussi la littérature celtique ou la psychanalyse…

Ce roman d’aventure, il confie l’avoir écrit, de façon étalée. En un an et demi. Il reconnaît que la recherche du style juste, de la bonne mise en mots, lui ont donné du fil à retordre.

Pourquoi écrire, « J’y cherche une reconnaissance sociale. Pas une thérapie . Je veux écrire pour être lu, pour entamer le dialogue. C’est une invitation à découvrir l’autre…J’entends aussi exprimer mon idéal de vie, ma passion pour l’observation. »

Donner du sens

Jean-Pierre Smagghe aime bien parler et n’hésite pas à se reprendre pour trouver les bons mots. On le sent tourmenté, en recherche même s’il estime avoir aujourd’hui trouvé sa voie. Quand il se raconte, il évoque un parcours cahoteux, un affect malmené et instable, des deuils. S’il s’habille  de noir de la tête au pied, ce n’est pas par coquetterie. « J’ai pris cette l’habitude après la mort de mon grand-père... »

Quand on lui demande à quoi il se destinait lorsqu’il était enfant, il répond simplement comme une évidence : « Je ne me destinais à rien ». Il avoue qu’il a toujours été  rebelle à l’autorité, aux règles, d’où qu’elles viennent. « Je n’accepte rien sans justification, sans explication. J’ai toujours besoin de comprendre, de donner du sens . Ca me joue souvent de sales tours car sans m’en rendre compte, je pousse les autres dans leurs retranchements, je les piège dans leurs contradictions.. ».

Son premier contact avec l’écrit a été « privé », personnel : poèmes, courriers, une expression de ses dégoûts, rejets, peurs infantiles, recherches de la vérité…Son parcours scolaire, marqué par de nombreuses absences s’en est ressenti. ». J’étais un élève moyen, indiscipliné, distrait… ».A vrai dire. C’est, plus tard, dans les petits boulots et à l’Université, via l’éducation permanente qu’il a trouvé du sens à l’étude, au travail. C’est là qu’il a cherché ce dont il avait besoin. Beau rattrapage : il a décroché un D.U.T. carrières sociales en 1998 ainsi qu’un Diplôme d’Etat aux Fonctions d’Animation et prépare en ce moment une Licence en sciences de l’éducation.

Créer du lien

Etape qui a compté : son arrivée au service photo de la ville de Wasquehal, via un T.U.C.. C’était en 1988-1989. La photo qu’il a pratiquée aussi comme correspondant de presse de notre journal fut pour lui, une première expérience. D’observation et d’expression. Il l’a quittée : « Ca ne me suffisait plus. Les textes des légendes ont vite pris plus de place que l’image. J’avais aussi l’impression de vampiriser des expressions, des attitudes, des âmes.. ». Pour l’instant, son métier, c’est « créer du lien social entre les gens à travers la délégation à la citoyenneté ».Mais, ses objectifs sont ailleurs. « en 1999-2000, j’ai traversé une période très difficile. Mon monde affectif et professionnel s’est écroulé. Je n’avais plus rien pour me raccrocher. Déprime et laisser aller. Des amis m’ont bousculé et j’ai refait surface… » Et c’est dans l’écriture qu’il a trouvé sa porte de sortie. Une autre façon de faire du lien.

Paru dans la Voix DU NORD

 juin 2002  par Brigitte LEMERY

Jean-Pierre Smagghe publie « L’enfant que la mort aimait » sur le Net et en version papier aux Editions Publibook. Un premier roman qui en appelle d’autres.

« J’ai toujours aimé écrire » avoue d’emblée Jean-Pierre Smagghe. Le visage de ce Wasquehalien entreprenant qui nous arrive premier roman sous le bras, ne nous est pas étranger pour l’avoir côtoyé il y a quelques années appareil photo en bandoulière sur les manifestations du secteur.

Correspondant de presse, animateur socioculturel aujourd’hui romancier, es trois fonctions très contrastées collent bien à la personnalité de notre auteur qui ne cache pas les différentes facettes d’un caractère curieux des autres, féru d’ésotérisme et de psychologie, d’histoire, en perpétuelle recherche sur lui même, le sens de la vie, notre place dans l’univers. Un caractère forgé au contact du terrain.

Des images avec des mots

Electron libre, Jean-Pierre Smagghe reconnaît avoir trouvé aujourd’hui son équilibre personnel et préfère canaliser sa belle énergie à écrire. Le plaisir de photographier l’ a quitté, il correspondait selon lui à un époque révolue, celle où il ne se servait de son objectif pour « rentrer en contact avec l’autre, communiquer, peut-être vampiriser l’autre. Aujourd’hui, j’ai envie de construire des images avec des mots, j’ai envie d’entrer dans l’imaginaire du lecteur et permettre qu’il y ajoute ses couleurs. J’ai aussi envie de dire que j’existe, de laisser une trace dans le temps. »

Aussi dans son roman »aux multiples rebondissements mêlant habilement les ressorts du récit à suspense à la passion amoureuse » a t-il inconsciemment distillé, quelques belles images, nous emmenant « dans les abysses de la conscience pour une étrange exploration de l’humanité. »

« Romantique de nature », Jean-Pierre Smagghe souhaite susciter l’émotion du lecteur en lui offrant une histoire aventureuse avec des sentiments, une ambiance pimentée de suspense, un juste dosage entre rêve et réalité.

Du virtuel au réel

La sortie de son premier ouvrage «  L’enfant que la mort aimait » correspond bien au style, puisqu’elle a été d’abord virtuelle avant d’être réelle. Publié aux Editions Publibook à Paris en mai 2002, l’ouvrage a la double particularité originale d’être en partie présente sur le Net depuis quinze jours sur le site Publibook.com et d’être imprimé à la commande. Un roman sur le Net, communication moderne qui permet de se faire connaître plus vite d’un large public et qui correspond bien finalement à cet auteur intéressé par le passé mais aussi aimanté par l’avenir, au point d’imaginer déjà d’autres romans, une suite à sa belle aventure littéraire.

Autres Romans

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Le sang qui coule dans tes veines

A paraitre
aux Editions DELMA
(début 2008)

 (Thriller fantastique)
Jean - Pierre SMAGGHE - MENEZ

Résumé :

En Bretagne, des jeunes femmes sont sauvagement assassinées depuis le début de lété. Le commissaire de la brigade criminelle de Rennes, Al Leguennec, met ses meilleurs hommes sur laffaire. Ils seront bientôt rejoints par Maria Loreena, de la police de Rouen.
Entre temps, Rachel, journaliste pour un magazine féminin, apprend que sa mère lui a menti. Elle se met alors en quête de ses origines et découvre qui était son père. Il a disparu peu après la naissance de Rachel dans des conditions étranges.
Le lieutenant Pauverty, chargé de coordonner l
enquête, se pose lui aussi des questions concernant le passé de la jeune femme.
Les meurtres commis en Ille-et-Vilaine, la vie apparemment sans histoire de Rachel, les recherches d
un anthropologue sur la mystérieuse Lilith...

Tout cela prend sens dans :

Le sang qui coule dans tes veines

Autres Romans

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La photographie :

un moyen d'exprimer sa vision du monde.…

moteur de son désir d'écrire, d'indépendance...

© photo : Jean-Pierre SMAGGHE - MENEZ

 

Petit historique … petite histoire de vie…

En 1989, après une scolarité éphémère, Jean-Pierre SMAGGHE devient photographe puis correspondant de presse.

La photographie se révélera pour lui, un moyen d'exprimer sa vision du monde. Il travaille alors sur un projet d'exposition. Mais très vite, il se met à écrire, son projet évolue et il se lance dans l'écriture d'un essai. Bien que celui-ci restât dans sa bibliothèque, cela lui donne envie d'écrire.

Entre temps, il reprend des études et passe un concours d'entrée universitaire, après une « remise à  niveaux » qui durera quatre ans.

Il obtient un D.U.T. (diplôme universitaire de technologie) carrières sociales en 1998, un D.E.F.A. (diplôme d'état aux fonctions d'animation) l'année suivante et termine par une licence en Sciences de l’Education.

C'est un bouleversement dans sa vie qui le conduit à écrire son premier roman, en septembre 2000. Il l'appellera : l'enfant que la mort aimait.

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 Dernières modifications le : 26/09/2007